Le “Mot du Jour” 22 Elloul 5780 – 11 Septembre 2020 

Chers Amis,

Voilà tout juste 4 ans que le Rav Yossef ‘Haïm SITRUK zatsal nous a quittés.

Qui n’a pas en mémoire l’impact qu’il a laissé dans toute la communauté ? Qui n’a pas vibré en entendant ses messages ? Qui n’a pas pleuré lorsqu’il nous a quittés ? Même parmi ceux qui étaient demeurés trop longtemps éloignés du Judaïsme ! Comme nous l’avons écrit TSADIK LO METH, UN TSADIK NE MEURT PAS GRÂCE À SES ÉLÈVES QUI PERPÉTUENT SON ENSEIGNEMENT dans la page d’accueil de notre site www.dvartorah.org  D.ieu merci, des générations et parmi eux des milliers de foyers ont pu profiter de ses enseignements. Nous sommes sûrs que bien d’autres en retireront aussi le plus grand profit. Une grande nouvelle à diffuser : tous ses cours, de même que tous les autres cours et événements, peuvent aujourd’hui être écoutés en Libre Écoute, même gratuitement, depuis https://dvartorah.org/module/okom_vip/default

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 Le Mois d’ELLOUL et la TESHOUVA           

Nous sommes déjà -et- à seulement quelques jours de Rosh Hashana ! Déjà parce que le temps passe si vite et que nous voulions vous écrire beaucoup plus tôt. Et seulement, parce qu’il nous reste vraiment très peu de temps et qu’il ne doit absolument pas être perdu.

Elloul est le mois le plus propice à la Teshouva, le Retour vers Hashem. Moshé Rabbénou (Moïse) a, entre autres, plaidé pour obtenir le pardon de la faute du veau d’or en ce mois de Elloul et l’a finalement obtenue à Yom Kippour. En Elloul, le Ciel est le mieux disposé à accueillir ceux qui veulent revenir vers Lui et à leur pardonner. Nous sommes, en quelque sorte, dans la dernière ligne droite avant l’arrivée en deux temps qui s’annonce.

En premier lieu, il nous faut nous préparer pour Rosh Hashana, le Nouvel An, pour que nous puissions reconnaître le Règne d’Hashem sur le monde et le faire vivre en nous. Ce n’est pas anodin ! Car c’est en fonction de cette reconnaissance, réelle et profonde, que notre avenir va se décider.

En second lieu, il nous faut obtenir le pardon pour toutes nos fautes à Yom Kippour, le Jour du Grand Pardon. Qu’il s’agisse des manquements commis envers Hashem lorsque nous n’aurions pas respecté les prescriptions de la Torah. Qu’il s’agisse des écarts et des libertés que nous aurions prises indûment, au détriment ou sur le compte de notre prochain.

Elloul est donc le mois par excellence où l’on s’amende, où l’on corrige et où l’on s’attache à améliorer notre conduite et nos traits de caractère. Une préoccupation qui, certes, nous tient à cœur toute l’année, notre vie durant. Mais Elloul offre une disposition toute particulière pour que notre Teshouva -notre Retour vers Hashem, vers l’état qui aurait dû être le nôtre si nous n’avions pas quittés Ses voies, ou encore notre réponse à ce que Hashem attend de nous, notre repentir, comme ce qui est précisé ci-après- réussisse et soit agréé.

Le respect des voies d’Hashem résulte de l’accomplissement des Mitzvoth, des préceptes de la Torah. Ils sont de deux ordres. Ceux qui tiennent de Ben Adam LaMakom, de la relation de l’homme envers le Créateur, et ceux qui relèvent de Ben Adam La’Havéro, du rapport de l’homme envers son prochain.

La Teshouva qui concerne exclusivement ma relation envers le Créateur comprend trois étapes essentielles et indispensables :

. Abandon des pratiques illicites au regard des préceptes de la Torah

. Éprouver le regret profond et sincère d’avoir transgressé l’interdit

. Reconnaître et déclarer nos fautes et s’engager à ne plus les commettre à l’avenir

La Teshouva qui relève de nos rapports avec nos prochains, est tout autant indispensable. Ai-je commis le moindre dommage ou préjudice envers autrui ? L’ai-je volé ? Ai-je blessé quelqu’un ? L’ai-je offensé ? Lui ai-je manqué de respect ? L’ai-je calomnié ? Ai-je dit du Lashon Hara, des paroles de vérité, certes, mais qui ont pour conséquence de causer un tort injustifié envers mon prochain ? Toutes ces fautes doivent également être réparées, éventuellement par un dédommagement pécuniaire, en vue d’obtenir le pardon de la personne lésée. Elle seule est à même de nous accorder son pardon. Celui-ci est tout autant nécessaire que le pardon que nous supplions Hashem de nous accorder, pour être totalement blanchis à Yom Kippour. Rien n’est superficiel et tout compte.

Ces deux « pôles » de la Teshouva -envers D.ieu et envers autrui- sont très intimement liés et dépendent l’un de l’autre. La Torah (Vayikra, Kedoshim, 19,18) nous dit « Aime ton prochain comme toi-même ». En faisant du tort à autrui, j’enfreins donc ce précepte de la Torah, donc d’Hashem. Tant que je n’ai pas réparé les torts occasionnés et obtenu le pardon des personnes lésées matériellement, affectivement ou spirituellement*, je n’aurais pas accompli le précepte d’aimer mon prochain comme moi-même. Je me trouve donc ici doublement en défaut et vis-à-vis de mon prochain et vis-à-vis d’Hashem. Ces deux torts doivent donc être réparés. D’une part en obtenant le pardon des personnes lésées, et éventuellement en les dédommageant s’il y a eu préjudice matériel. D’autre part en reconnaissant ses fautes (vidouï), en les regrettant, en s’engageant à ne plus les commettre et en demandant le pardon (Sli’ha VeKapara) à Hashem.

* Le tort causé peut affecter autrui en le troublant, voire en l’empêchant, dans sa démarche pour servir et se rapprocher d’Hashem. C’est donc une atteinte spirituelle qui concerne et autrui et Hashem. D’une manière générale tout préjudice causé à autrui l’est également envers Hashem. Nous sommes Ses enfants. Si nous sommes atteints, notre Père L’est aussi.

Les SLI’HOTH

Il y a les intentions et il y a les actes. Parfois, s’ils ne sont pas associés, ils sont sans valeur. Tout le monde reconnaît que des actes accomplis avec une intention réellement réfléchie et ressentie sont plus riches, significatifs et complets que ceux exécutés sans intention. A priori, un acte comme celui de prier est toujours accompagné d’une intention des plus louables. Si le sens juste est placé sur chaque mot prononcé -même en silence- compris et intégré, la valeur de notre prière devient idéale et est parfaitement entendue.

Il en est de même pour les Sli’hoth -véritables suppliques de repentance- qui précèdent la prière du matin depuis le 2 Elloul, (il y a déjà 20 jours !),  jusqu’au matin inclus la veille de Rosh Hashana pour les Sefaradim. Les Seli’hoth ne commenceront que le dimanche 13 septembre pour les Ashkenazim (ou la veille dès 23h45), également jusqu’au matin précédant Rosh Hashana. Elles reprendront pour tous -Ashkenazim comme Sefaradim- avant la prière du matin au lendemain de Rosh Hashana et jusqu’à Yom Kippour.

Certains Communautés Sefarade et les Ashkenazim ont aussi la coutume de sonner du Shofar, corne de bélier, à la fin de la prière du matin, du 2 Elloul jusqu’à l’avant-veille de Rosh Hashana pour s’éveiller à la Teshouva. On cesse alors de sonner du Shofar pour faire un Éfsek, une coupure, avec les Tekioth, les sonneries du Shofar, que l’on somme à deux reprises à Rosh Hashana pour troubler le Satan. La sonnerie du Shofar décompte les jours qui nous séparent de Yom Kippour. Elle rappelle l’absence de Moshé Rabbénou, monté durant 40 jours au Mont Sinaï avec de nouvelles Tables de la Loi, pour obtenir le pardon de la faute du veau d’or. Elle évoque l’immense Don que Avraham Avinou et Yits’ak Avinou étaient prêts à offrir à Hashem (la ligature d’Isaac…). La corne évoque le bélier qu’Avraham a sacrifié à la place de Yits’hak. La sonnerie du Shofar appelle la miséricorde d’Hashem, Sa clémence et Son pardon pour Ses enfants que nous sommes.

Lorsqu’un animal était sacrifié au Temple et qu’une pensée inadéquate animait le Kohen en charge du sacrifice, ou bien si celui qui apportait l’offrande ne faisait pas Teshouva, le sacrifice n’était pas agréé. Or, depuis la destruction du 1er et du 2ème Temple ce sont les prières qui remplacent les sacrifices. D’où l’importance de comprendre le sens de nos prières et de ne pas y associer des pensées inappropriées. L’usage de livres de prières bilingues ou avec traduction de type « mot-à-mot » peut s’avérer ici des plus précieux.

Avant d’implorer le pardon du Ciel, nous vous proposons d’écouter des paroles dites par Rav Chaïm Yits’hok CHAJKIN zatsal, Rosh Yeshivah ‘Hachmeï Tsorfat à Aix les Bains, lors d’un Gala en 1989 à Paris. Sa contribution et son apport au Judaïme de France ont été d’une importance cruciale. Ils ont profondément marqué des milliers d’élèves sur plusieurs générations.

 Voici son message :

« Donnez votre cœur à Hakadosh Baroukh Hou ! Que chaque Yid (juif) mette les Tefilines. Cela nous rappelle que D.ieu nous a fait sortir d’Egypte, que c’est Lui qui a créé le Monde, que l’on croit en D.ieu et que l’on est attaché à Hakadosh Baroukh Hou et avec la Torah. La même chose pour le Mikvéh. Chaque femme doit aller au Mikvéh. J’ai étudié avec le ‘Hafetz ‘Haïm, le plus grand Rav du Monde. Il a parlé, je le répète à tout le monde. Aucune femme ne peut dire qu’elle ne peut aller au Mikvéh pour des raisons de Parnassa (de gagne pain). Cela n’a rien à faire avec la Parnassa. Elle est obligée d’aller au Mikvéh par ordre de notre Cher Hakadosh Baroukh Hou, le Maître du Monde, le Créateur du monde, le Dirigeant du Monde, qui a créé même les étoiles, des milliards d’étoiles, comme c’est écrit dans la Guemara Brakhoth (32b). Il les dirige, elles ont peur de Lui, elles font attention, c’est marqué dans la prière du Shabbath : Ossim Beeïma Retson Konam (elles sont émues de frayeur dans l’accomplissement de la volonté de leur Créateur). Elles craignent de tous côtés, comme Hakadosh Baroukh Hou leur a ordonné. Et nous sommes les plus proches avec le Maître du Monde, qui a créé le ciel et la terre. Et s’il n’y avait pas la Torah et Israël, Il n’aurait pas créé le Monde. Et même maintenant, si les Yid (juifs) arrêtent d’étudier la Torah, le Monde entier disparaît. Nous savons cela, ça n’existe pas dans le monde que les Yid n’étudient pas la Torah, que ce soit la nuit comme le jour, qu’on n’étudie pas la Torah. Je demande à tous ceux qui sont venus ici pour soutenir la Torah, une Hithorerouth, (un réveil) pour le Judaïsme, pour Hakadosh Baroukh Hou. Qu’ils commencent à retourner vers Hakadosh Baroukh Hou. Tefilines, acheter de bonnes Tefilines, et les mettre chaque jour. Moi je les ai mises même en Allemagne chez Hitler. Cela m’a beaucoup préservé. Cela donne beaucoup de courage. Que tout le monde achète de bonnes Tefilines et que ceux qui n’ont pas le temps de les mettre le peuvent, à midi. Mettez-les, faites une Brakha et dites le Kriyath Shema. Tefilines. Les femmes, toutes les femmes doivent aller au Mikvéh. Le ‘Hafetz Haïm raconte, et cela je le répète à tout le monde. Un malade qui risque de mourir, selon le Din (la Loi de la Torah) il peut manger Tréfa (pas Kasher) pour sauver sa vie. Et s’il doit manger une soupe chaude Shabbath pour qu’il ne meure pas, qu’il mange (on doit la lui chauffer) pour qu’il ne meure pas. Et si c’est Yom Kippour, qu’on n’a pas le droit de manger, et s’il ne mange pas il va mourir, il a le droit (l’obligation) de manger. Malgré (la gravité à commettre) des Avéroth (transgressions) on a le droit (l’obligation) de les faire pour préserver la vie. Mais s’il s’agit de Nida (impureté menstruelle), si par exemple un homme est malade et le docteur lui dit d’être avec une femme maintenant et sa femme elle est Nida, on dit qu’il meure, qu’il meure, mais qu’il n’aille pas avec sa femme, parce qu’elle est Nida. Sachez que tout ce que nous disons ce n’est que de Hakadosh Baroukh Hou, notre Cher Hakadosh Baroukh Hou, le Créateur du Monde, le Dirigeant du Monde, de tous les Etats, de tous les astres. Nous sommes les plus attachés avec le Vrai D.ieu, depuis Avraham Avinou, Avraham, Yits’hak et Ya’akov, vous comprenez ? Nous sommes toujours avec Lui. Il nous a gardés. Malgré toutes les souffrances, on ne s’est pas détourné de la Torah. (…) Une fois dans le Monde Futur (on te demandera) « Pourquoi on t’a tué ? – parce que j’ai gardé le Shabbath. Pourquoi on t’a lapidé ? Parce que j’ai fait la Mila (circoncision) à mon fils ». Dans des circonstances pareilles, les Yid n’ont pas fait attention aux menaces des Goyim. Même pour (face à) la mort, on a toujours accompli la Torah et toutes les souffrances… Et maintenant Baroukh Hashem, partout où nous sommes on peut bien observer la Torah.

Il faut absolument (qu’en) cette soirée (qui) montre la bonne volonté du Yid, (qui) m’a fait tant plaisir, faites plaisir à notre Cher D.ieu, à notre Cher Hakadosh Baroukh Hou. Tournez (mettez) les Tefilines, et le Mikvéh, n’oublie pas le Mikvéh. Le père, la mère et l’enfant sont en danger. Comme cela nous dit le ‘Hafetz Haïm, le plus grand Rav du Monde. Et s’il voit qu’il est pas mort, que le petit parfois il meurt plus tard, le père dit oh mon fils vit, mais après, (à) la mort du père, au lieu de mourir à 70 ans ou 80 ans, il meurt à 40 ans, à 45 ans, ou à 35 ans. La Torah, tout ce qui est marqué, c’est Kodesh Kodashim (sacré comme le Saint des Saints). Mes chers frères, tournez-vous de tout votre cœur vers notre Cher Hakadosh Baroukh Hou. Autrement, il faut avoir peur, ‘Hass VeShalom (à D.ieu ne plaise) pour un 2ème Hitler, pourvu que cela ne vienne pas ! Hakadosh Baroukh Hou n’a peur de personne ! Être un Yid observant c’est ça le Takhlith (but) de la Briya (Création). Cela c’est le plus grand plaisir pour Hakadosh Baroukh Hou. Lui-même Il étudie la Torah, Il est attaché à la Torah. Il n’a pas de plus grand plaisir que d’entendre que les Yid font les Mitzvoth. Je prie tout le monde de ne pas partir sans une décision ferme. Retournez vers Hakadosh Baroukh Hou. D.ieu vous aidera. Je vous le dis, Mi Guéver Yi’hyé Velo Yiré Maveth (Y a-t-il un homme qui va vivre et qui ne va pas mourir ? Qu’il sauve son âme de la faute ! – Tehilim 89, 49). L’homme vit (sur) une voie (qui le mène) vers la mort. Et si on mourait, comme les Apikorsim (mécréants qui nient D.ieu) (le) croient : « bon, c’est fini » (disent-ils). Mais nous savons, qu’après la mort commence un jugement dans le Ciel. Directement, Hakadosh Baroukh Hou c’est le juge et Lui Il est le témoin et on ne peut pas sortir comme cela. Tôt ou tard, s’il ne paie pas ici, là-bas il aura une punition mille fois pire qu’ici, vous comprenez ? Si on observe la Torah, nous serons le meilleur du Monde. Si on n’observe pas la Torah ‘Hass VeShalom (à D.ieu ne plaise). Un Goye a demandé comment les Yid peuvent résister contre tant de peuples qui sont contre eux et cependant, toujours ils prospèrent ? Comment cela est possible que une seule brebis puisse résister contre 70 loups, comment est-ce possible ? Le ‘Hakham (sage) a dit : le Yid, c’est pas une brebis forte, le berger de cette brebis il est fort. Hakadosh Baroukh Hou c’est notre berger. Il nous dirige, Il nous fait tout.

Je vous donne un conseil (du plus) profond de mon cœur pour vous éviter du mal et pour éviter du mal à nous tous. Il nous faut nous tourner complètement vers la Torah. N’oubliez pas, c’est marqué dans la Torah qu’Hakadosh Baroukh Hou aide. Vous serez tout à fait d’autres personnes, vous comprenez ? (Je vais) vous relater un échange avec un français à propos de ma captivité. J’ai dit que j’ai mis les Tefilines en captivité, que j’ai étudié la Torah après le travail. Il m’a dit : « nous sommes aussi religieux ». Comment es-tu religieux ? Dimanche tu prends l’auto, tu va à l’église écouter un peu de musique liturgique. Mais tu sais, pour moi, quand je suis marié, j’ai une femme. (Durant) Deux semaines par mois ce n’est pas ma femme, jusqu’à ce qu’elle aille au Mikvéh (bain rituel). Mais ne crois pas que nous sommes tellement loin. Chaque mois, quand on va à la Mikvéh, après c’est comme un nouveau mariage. Si l’on est toujours avec la femme, comme des animaux, on est dégoûté de la femme. Mais quand on fait comme D.ieu nous a prescrit, Il nous a créé, Il sait ce qui est bien pour nous. Là où il faut se séparer, il faut absolument le faire. Autrement, la punition est sûre et certaine, tôt ou tard. C’est encore (une chance de pouvoir) faire ici, (alors) qu’on est vivant, c’est le plus grand bonheur parce qu’on peut faire Teshouva, qu’on regrette le passé, on décide selon la voie de la Torah. Hakadosh Baroukh Hou accueille chacun avec les bras ouverts pour ceux qui se repentent. Il aide. Faites attention pour (vous) sauver vous-mêmes et le Peuple du Klal (de l’ensemble d’) Israël en décidant d’observer complètement la Torah. Qu’Il donne à tout le monde une longue vie, la Parnassa (un gagne pain), une bonne santé, dans tous les domaines. Mais tournons-nous vers notre Cher Hakadosh Baroukh Hou ! Amen ! »  

Vous l’avez compris, nous ne voulions en aucun cas vous priver des paroles si importantes de Rav Chaim Yits’hok CHAJKIN zatsal. Vous pouvez télécharger l’événement à la ref. 88010  à porter dans « Recherche » en haut à droite de la page d’accueil de notre site, ou encore à l’adresse https://dvartorah.org/recherche?controller=search&orderby=position&orderway=desc&search_query=88010&submit_search=&cat_id%5B%5D=19 . L’intervention de Rav Chaim Yits’hok CHAJKIN zatsal est au timing 1:46:24.

DATES ET HORAIRES DE ROSH HASHANA (à Paris) :

1er jour depuis l’entrée du Shabbath le vendredi 18 septembre à 19:38 jusqu’après Shabbath 19 septembre à 20:42

2ème jour depuis la sortie du Shabbath 19 septembre à 20:42 jusqu’au dimanche 20 septembre à 20:40.

Ce message est également publié dans l’onglet “Mot du Jour” que vous trouverez sur la page d’accueil de notre site, ou directement à l’adresse :       https://dvartorah.org/content/21-mot-du-jour

Nous essaierons de vous joindre encore avant Rosh Hashana, mais d’ores-et-déjà nous vous adressons tous nos vœux.

Que Hashem Qui protège Son peuple vous bénisse et fasse qu’une bonne santé et la paix intérieure soit votre lot et celui de tous vos proches. Et bien sûr que nous vivions tous pleinement notre Héritage unique et grandiose en cette nouvelle année 5781 ! Shana Tova, Ktiva Ve’hatima Tova ! Que vous soyez bien inscrits dans le Grand Livre de la Vie ! N’hésitez pas à nous faire part de votre sentiment et, bien entendu, si vous le pouvez, faites suivre ce message le plus largement possible tout autour de vous. Kol Touv, à très bientôt et avec nos meilleures pensées ! Shabbath Shalom !