Le « Mot du Jour » 18 Tévèth 5776 – 30 décembre 2015

Un don qui vaut cher !

Chers Amis,
En France, 66% du montant des dons faits par les particuliers sont déductibles des impôts dans la limite de 20% des revenus imposables.
Pour les sociétés, 60% du montant des dons sont déductibles dans la limite de 5% du chiffre d’affaires.
Pour les particuliers, cela revient au schéma suivant :
BenPloni ou BathPloni, Un tel ou Une telle, ne fait pas de dons. Ses revenus et son statut fiscal le rend redevable par exemple de 1000€ d’impôt. En faisant un ou des dons pour un total de 1515€ il se trouve exonéré des 1000€ dus s’il ne faisait pas de dons.
En résumé :
1. Il contribue pour 1515€ en dons.
2. De ce fait il sera exonéré de 1000€ d’impôt   =>66% de 1515€.
3. Son don ne lui reviendra qu’à 515€   =>1515€ moins 1000€.
4. Mais surtout il fait en même temps bénéficier une ou des œuvres dont les actions lui sont chères de 1515€, grâce auxquels ces œuvres pourront développer de nouvelles réalisations !                  5. Enfin, et pas des moindres, il/elle verse ainsi de fait son Ma’asser, la Dîme, sur ses revenus nets. Le Ma’asser est une règle établie par nos ‘Hakhamim, déduite à partir de la dîme sur les productions de la terre imposée par la Torah (voir le cours de Rav Gerstel Ma’asser et Tsedaka (La Dîme et le Don). Il en résulte une meilleure justice sociale et l’occasion de promouvoir d’étude de la Torah. De plus, tout le monde connaît l’adage selon lequel celui verse scrupuleusement son Ma’asser (la Dîme) Mit’achère = s’enrichit. C’est toutefois aussi l’inverse lorsqu’il s’abstient.


Un don n’est jamais anodin. Parfois il coûte cher. Mais il peut aussi représenter un capital spirituel énorme, qui n’est pas coté en bourse, comme la vie, la protection, la santé et même la joie. Chacun comprend que seuls les dons qui intègrent effectivement une dimension de Tsedaka -équité et justice- peuvent être ici pris en compte. La Tsedaka peut être faite via des œuvres de charité aux nécessiteux, à ceux qui le sont vraiment, pas pour couvrir des dépenses d’apparat. La Tsedaka peut aussi être faite via des œuvres d’étude et d’enseignement de la Torah, parce que sans Torah il n’y a pas de vraie vie !

Dvar Torah peut tout à fait être l’une de ces œuvres parce que nous sommes complètement investis dans la diffusion et la propagation de la Torah via notre site et les média que nous distribuons à des conditions qui ne couvrent pas les coûts de réalisation.

D.ieu merci, très nombreux sont ceux qui ont profité et grandi grâce à nos actions ou qui sont heureux de l’existence même de Dvar Torah. Mais peut-on se limiter à un bon sentiment en demeurant quelque peu à l’écart ? Ou bien, au contraire, devrions-nous y prendre une part active et effective, manifester notre joie, notre solidarité, assumer notre responsabilité et éprouver le bonheur de participer vraiment ?

Faites-le pour maintenant, pour vous, mais aussi pour l’avenir des nouvelles générations ! D’autant que la pénurie de moyens retarde le lancement de nouveaux projets.

Adressez-nous votre chèque daté de ce jour pour l’année fiscale 2015, ou plus tard et dès que possible, s’il n’y a pas de nécessité d’ordre fiscal, à : Association Dvar Torah 10-12 chemin de Halage 93800 EPINAY (France).
Ou encore via notre site à l’onglet https://www.dvartorah.org/fr/64-donations-dons
Un reçu cerfa vous sera adressé en retour.
Tiskou LeMitzvoth, qu’il vous soit donné de faire de nombreuses Mitzvoth, parce que soutenir Dvar Torah est bien, à nos yeux, une grande et belle Mitzvah !

N.B. Vous pouvez ces jours-ci écouter à votre aise sur www.dvartorah.org/fr 3 cours autour de la Tsedaka. Excellentes écoutes à tous ! Nous essayons chaque semaine de mettre en ligne de nouveaux cours.
Merci de faire passer ce message tout autour de vous.