Le “Mot du Jour” 11 Elloul 5779 – 11 septembre 2019

Chers Amis,

Rosh Hashana  est la seule fête qui comprend deux jours, tant en Eretz Israël qu’en dehors. Elle sera célébrée cette année -avec l’aide du Ciel- dès dimanche soir 29 septembre, soit dans seulement 11 jours ! Il nous reste donc vraiment très peu de temps à mettre à profit pour nous préparer le plus possible. Pourquoi cela ? Parce que le mois de Elloul est le mois le plus propice à la Teshouva, le Retour vers Hashem.

Or nous sommes bien pauvres et désemparés, à l’instar de cette toute jeune fille de l’histoire racontée par Rav Bidermann sur « Kol Halashon ».

Elle devait avoir neuf ou dix ans. Elle entra dans une bijouterie et dit qu’elle souhaitait savoir si ce bijou, exposé dans la vitrine, était du vrai, pas de fausses pierres, ni du plaqué or. Le bijoutier lui dit que oui, et il lui demanda ce qu’elle souhaitait ? Elle répondit qu’elle voulait l’acheter et elle vida son porte monnaie sur le comptoir. Il contenait ses économies : plein de pièces de 10, 5, 1 et un demi shékel, mais aussi des agouroth de moindre valeur. Le bijoutier la regarda et lui demanda ce que cela signifiait. La fillette lui dit qu’elle était orpheline et qu’elle savait que sa grande sœur, qui s’occupait tellement bien d’elle et de tous ses frères et sœurs depuis que leur mère les avait quittés, aimait beaucoup ce bijou et qu’aujourd’hui c’était son anniversaire. Elle voulait beaucoup le lui offrir. Le bijoutier regarda la fillette, réfléchit, lui remit le bijou et il lui dit : « tiens, prends-le, il est pour toi ». La fillette repartit tellement heureuse. Un peu plus tard dans l’après-midi, sa grande sœur vint à la bijouterie, demanda si ce bijou venait bien de chez-eux et si une petite fille de 9-10 ans était venue. Le bijoutier répondit que oui. « Elle l’a payé ? ». « Oui ! ».  « Mais comment, elle n’avait pas d’argent, ce bijou vaut une fortune ». « Les bijoux ont une valeur, mais elle n’est pas fixe. Ce n’est pas comme le prix du pain ou du lait. Or votre sœur a payé avec l’histoire qu’elle m’a racontée en ouvrant son cœur brisé.

Nous sommes bien pauvres et désemparés pour racheter nos fautes, nous faire pardonner et faire une Teshouva complète. Que pouvons-nous donner en échange, on n’a pas de quoi payer ?…

Moshé Rabbénou (Moïse) a, entre autres, plaidé pour obtenir le pardon de la faute du veau d’or en ce mois de Elloul et l’a finalement obtenue à Yom Kippour. En Elloul, le Ciel est le mieux disposé à accueillir ceux qui veulent revenir vers Lui et leur pardonner. Nous sommes, en quelque sorte, dans la dernière ligne droite avant l’arrivée qui s’annonce en deux temps.

En premier lieu, il nous faut nous préparer pour Rosh Hashana, le Nouvel An, pour que nous puissions reconnaître le Règne d’Hashem sur le Monde et le faire vivre en nous. Ce n’est pas anodin ! Car c’est en fonction de cette reconnaissance, réelle et profonde, que notre avenir va se décider.

En second lieu, il nous faut obtenir le pardon pour toutes nos fautes à Yom Kippour, le Jour du Grand Pardon. Qu’il s’agisse des manquements commis envers Hashem lorsque nous n’aurions pas respecté les prescriptions de la Torah. Qu’il s’agisse des écarts et des libertés que nous aurions prises indûment, au détriment ou sur le compte de notre prochain.

Elloul est Le mois où l’on s’amende, où l’on corrige et où l’on s’attache à améliorer notre conduite et nos traits de caractère. Une préoccupation qui, certes, doit nous tenir à cœur toute l’année, notre vie durant. Mais Elloul offre une disposition toute particulière pour que notre Teshouva, notre Retour vers Hashem, réussisse et soit agréé.

La Teshouva comprend trois étapes essentielles et indispensables :
. Abandon des pratiques illicites au regard des préceptes de la Torah
. Eprouver le regret profond et sincère d’avoir transgressé l’interdit
. Reconnaître et déclarer nos fautes et s’engager à ne plus les commettre

Cette Teshouva concerne exclusivement les fautes envers le Créateur.

Une autre sorte de Teshouva, celle qui relève de nos rapports avec nos prochains, est également indispensable. Ai-je commis le moindre dommage envers autrui ? L’ai-je volé ? Ai-je blessé quelqu’un ? L’ai-je offensé ? Lui ai-je manqué de respect ? L’ai-je calomnié ? Ai-je dit du Lashon Hara, des paroles de vérité, certes, mais qui ont pour conséquence de causer un préjudice injustifié envers mon prochain ? Toutes ces fautes doivent également être réparées, éventuellement par un dédommagement pécuniaire, en vue d’obtenir le pardon de la personne lésée. Elle seule pourra nous accorder son pardon. Il est tout autant nécessaire, comme le pardon que nous supplions Hashem de nous accorder, pour être totalement blanchi à Yom Kippour. Rien n’est superficiel et tout compte.

Poursuivons ce préambule.

Il y a les intentions et il y a les actes. Parfois, s’ils ne sont pas associés, ils sont sans valeur. Tout le monde reconnaît que des actes accomplis avec une intention réellement réfléchie et ressentie sont plus riches, significatifs et complets que ceux exécutés sans intention, de façon distraite ou machinale.

Il en est de même pour les Seli’hoth -suppliques de repentance- qui précèdent la prière du matin pour les Sefaradim depuis le 2 Elloul, (il y a déjà 15 jours !),  jusqu’au matin inclus la veille de Rosh Hashana. Pour les Ashkenazim, les Seli’hoth ne commenceront que le dimanche 22 septembre (ou la veille dès 23h43), également jusqu’au matin précédant Rosh Hashana.

Elles reprendront pour tous – Sefaradim comme Ashkenazim – avant la prière du matin au lendemain de Rosh Hashana et jusqu’à Yom Kippour.

Sefaradim et Ashkenazim ont aussi la coutume de sonner du Shofar, corne de bélier, à la fin de la prière du matin, du 2 Elloul jusqu’à l’avant-veille de Rosh Hashana. Le but est de troubler le Satan et ainsi l’empêcher de nuire durant Rosh Hashana.

La sonnerie du Shofar décompte les jours qui nous séparent de Yom Kippour. Elle rappelle l’absence de Moshé Rabbénou, monté au Mont Sinaï avec de nouvelles Tables de la Loi, pour obtenir le pardon de la faute du veau d’or. Elle évoque l’immense Don qu’ont fait Avraham Avinou en s’apprêtant à sacrifier son fils et Yits’ak Avinou en s’offrant en sacrifice pour Hashem (la ligature d’Isaac…). La sonnerie du Shofar rappelle le bouc qui fut offert à la place de Yits’hak Avinou et appelle la miséricorde d’Hashem, sa clémence et son pardon pour Ses enfants que nous sommes.

Depuis que le Temple a été détruit, ce sont les prières qui remplacent les sacrifices pour expier nos fautes, qu’il s’agisse de fautes volontaires ou non. La distinction entre fautes volontaires et involontaires dépend du degré de conscience que l’on a de l’interdit. Les fautes volontaires pour certains pourraient donc être considérées comme involontaires pour d’autres. L’inverse peut être également vrai. (Voir le ‘Hazon Ish sur la notion de Tinok SheNishba = un enfant qui a grandi hors du judaïsme – voir la lettre de Dvar Torah n°4, p. 4 / et le livre « Parcours » p. 66). Une haute autorité rabbinique saurait faire la part des choses.

Lorsqu’un animal était sacrifié au Temple et qu’une pensée inadéquate animait le Kohen en charge du sacrifice, ce dernier n’était pas agréé. D’où l’importance de comprendre le sens de nos prières et de ne pas y associer des pensées inappropriées. L’usage de livres de prières bilingues ou avec traduction de type « mot-à-mot » peut s’avérer des plus précieux.

Avant d’implorer le pardon du Ciel, nous vous proposons « d’écouter » des paroles dites par Rav Chaïm Yits’hok CHAJKIN zatsal, Rosh Yeshivah ‘Hachmeï Tsorfat à Aix les Bains, lors d’un Gala en 1989 à Paris. Sa contribution et son apport au Judaïme de France ont été d’une importance cruciale. Ils ont profondément marqué des milliers d’élèves sur plusieurs générations qui ont à leur tour transmis à des dizaines de milliers d’élèves.

 Nous le retranscrivons ci-dessous :

« Donnez votre cœur à Hakadosh Baroukh Hou ! Que chaque Yid (juif) mette les Tefilines. Cela nous rappelle que D.ieu nous a fait sortir d’Egypte, que c’est Lui qui a créé le Monde, que l’on croit en D.ieu et que l’on est attaché à Hakadosh Baroukh Hou et avec la Torah. La même chose pour le Mikvéh. Chaque femme doit aller au Mikvéh. J’ai étudié avec le ‘Hafetz ‘Haïm, le plus grand Rav du Monde. Il a parlé, je le répète à tout le monde. Aucune femme ne peut dire qu’elle ne peut aller au Mikvéh pour des raisons de Parnassa (de gagne pain). Cela n’a rien à faire avec la Parnassa. Elle est obligée d’aller au Mikvéh par ordre de notre Cher Hakadosh Baroukh Hou, le Maître du Monde, le Créateur du monde, le Dirigeant du Monde, qui a créé même les étoiles, des milliards d’étoiles, comme c’est écrit dans la Guemara Brakhoth (32b). Il les dirige, elles ont peur de Lui, elles font attention, c’est marqué dans la prière du Shabbath : Ossim Beeïma Retson Konam (elles sont émues de frayeur dans l’accomplissement de la volonté de leur Créateur). Elles craignent de tous côtés, comme Hakadosh Baroukh Hou leur a ordonné. Et nous sommes les plus proches avec le Maître du Monde, qui a créé le ciel et la terre. Et s’il n’y avait pas la Torah et Israël, Il n’aurait pas créé le Monde. Et même maintenant, si les Yid (juifs) arrêtent d’étudier la Torah, le Monde entier disparaît. Nous savons cela, ça n’existe pas dans le monde que les Yid n’étudient pas la Torah, que ce soit la nuit comme le jour, qu’on n’étudie pas la Torah. Je demande à tous ceux qui sont venus ici pour soutenir la Torah, une Hithorerouth, (un réveil) pour le Judaïsme, pour Hakadosh Baroukh Hou. Qu’ils commencent à retourner vers Hakadosh Baroukh Hou. Tefilines, acheter de bonnes Tefilines, et les mettre chaque jour. Moi je les ai mises même en Allemagne chez Hitler. Cela m’a beaucoup préservé. Cela donne beaucoup de courage. Que tout le monde achète de bonnes Tefilines et que ceux qui n’ont pas le temps de les mettre le peuvent, à midi. Mettez-les, faites une Brakha et dites le Kriyath Shema. Tefilines. Les femmes, toutes les femmes doivent aller au Mikvéh. Le ‘Hafetz Haïm raconte, et cela je le répète à tout le monde. Un malade qui risque de mourir, selon le Din (la Loi de la Torah) il peut manger Tréfa (pas Kasher) pour sauver sa vie. Et s’il doit manger une soupe chaude Shabbath pour qu’il ne meure pas, qu’il mange (on doit la lui chauffer) pour qu’il ne meure pas. Et si c’est Yom Kippour, qu’on n’a pas le droit de manger, et s’il ne mange pas il va mourir, il a le droit (l’obligation) de manger. Malgré (la gravité à commettre) des Avéroth (transgressions) on a le droit (l’obligation) de les faire pour préserver la vie. Mais s’il s’agit de Nida (impureté menstruelle), si par exemple un homme est malade et le docteur lui dit d’être avec une femme maintenant et sa femme elle est Nida, on dit qu’il meure, qu’il meure, mais qu’il n’aille pas avec sa femme, parce qu’elle est Nida. Sachez que tout ce que nous disons ce n’est que de Hakadosh Baroukh Hou, notre Cher Hakadosh Baroukh Hou, le Créateur du Monde, le Dirigeant du Monde, de tous les Etats, de tous les astres. Nous sommes les plus attachés avec le Vrai D.ieu, depuis Avraham Avinou, Avraham, Yits’hak et Ya’akov, vous comprenez ? Nous sommes toujours avec Lui. Il nous a gardés. Malgré toutes les souffrances, on ne s’est pas détourné de la Torah. (…) Une fois dans le Monde Futur (on te demandera) « Pourquoi on t’a tué ? – parce que j’ai gardé le Shabbath. Pourquoi on t’a lapidé ? Parce que j’ai fait la Mila (circoncision) à mon fils ». Dans des circonstances pareilles, les Yid n’ont pas fait attention aux menaces des Goyim. Même pour (face à) la mort, on a toujours accompli la Torah et toutes les souffrances… Et maintenant Baroukh Hashem, partout où nous sommes on peut bien observer la Torah.

Il faut absolument (qu’en) cette soirée (qui) montre la bonne volonté du Yid, (qui) m’a fait tant plaisir, faites plaisir à notre Cher D.ieu, à notre Cher Hakadosh Baroukh Hou. Tournez (mettez) les Tefilines, et le Mikvéh, n’oublie pas le Mikvéh. Le père, la mère et l’enfant sont en danger. Comme cela nous dit le ‘Hafetz Haïm, le plus grand Rav du Monde. Et s’il voit qu’il est pas mort, que le petit parfois il meurt plus tard, le père dit oh mon fils vit, mais après, (à) la mort du père, au lieu de mourir à 70 ans ou 80 ans, il meurt à 40 ans, à 45 ans, ou à 35 ans. La Torah, tout ce qui est marqué, c’est Kodesh Kodashim (sacré comme le Saint des Saints). Mes chers frères, tournez-vous de tout votre cœur vers notre Cher Hakadosh Baroukh Hou. Autrement, il faut avoir peur, ‘Hass VeShalom (à D.ieu ne plaise) pour un 2ème Hitler, pourvu que cela ne vienne pas ! Hakadosh Baroukh Hou n’a peur de personne ! Être un Yid observant c’est ça le Takhlith (but) de la Briya (Création). Cela c’est le plus grand plaisir pour Hakadosh Baroukh Hou. Lui-même Il étudie la Torah, Il est attaché à la Torah. Il n’a pas de plus grand plaisir que d’entendre que les Yid font les Mitzvoth. Je prie tout le monde de ne pas partir sans une décision ferme. Retournez vers Hakadosh Baroukh Hou. D.ieu vous aidera. Je vous le dis, Mi Guéver Yi’hyé Velo Yiré Maveth (Y a-t-il un homme qui va vivre et qui ne va pas mourir ? Qu’il sauve son âme de la faute ! – Tehilim 89, 49). L’homme vit (sur) une voie (qui le mène) vers la mort. Et si on mourait, comme les Apikorsim (mécréants) (le) croient : « bon, c’est fini » (disent-ils). Mais nous savons, qu’après la mort commence un jugement dans le Ciel. Directement, Hakadosh Baroukh Hou c’est le juge et Lui Il est le témoin et on ne peut pas sortir comme cela. Tôt ou tard, s’il ne paie pas ici, là-bas il aura une punition mille fois pire qu’ici, vous comprenez ? Si on observe la Torah, nous serons le meilleur du Monde. Si on n’observe pas la Torah ‘Hass VeShalom (à D.ieu ne plaise). Un Goye a demandé comment les Yid peuvent résister contre tant de peuples qui sont contre eux et cependant, toujours ils prospèrent ? Comment cela est possible que une seule brebis puisse résister contre 70 loups, comment est-ce possible ? Le ‘Hakham (sage) a dit : le Yid, c’est pas une brebis forte, le berger de cette brebis il est fort. Hakadosh Baroukh Hou c’est notre berger. Il nous dirige, Il nous fait tout.

Je vous donne un conseil (du plus) profond de mon cœur pour vous éviter du mal et pour éviter du mal à nous tous. Il nous faut nous tourner complètement vers la Torah. N’oubliez pas, c’est marqué dans la Torah qu’Hakadosh Baroukh Hou aide. Vous serez tout à fait d’autres personnes, vous comprenez ? (Je vais) vous relater un échange avec un français à propos de ma captivité. J’ai dit que j’ai mis les Tefilines en captivité, que j’ai étudié la Torah après le travail. Il m’a dit : « nous sommes aussi religieux ». Comment es-tu religieux ? Dimanche tu prends l’auto, tu va à l’église écouter un peu de musique liturgique. Mais tu sais, pour moi, quand je suis marié, j’ai une femme. (Durant) Deux semaines par mois ce n’est pas ma femme, jusqu’à ce qu’elle aille au Mikvéh. Mais ne crois pas que nous sommes tellement loin. Chaque mois, quand on va à la Mikvéh, après c’est comme un nouveau mariage. Si l’on est toujours avec la femme, comme des animaux, on est dégoûté de la femme. Mais quand on fait comme D.ieu nous a prescrit, Il nous a créé, Il sait ce qui est bien pour nous. Là où il faut se séparer, il faut absolument le faire. Autrement, la punition est sûre et certaine, tôt ou tard. C’est encore (une chance de pouvoir) faire ici, (alors) qu’on est vivant, c’est le plus grand bonheur parce qu’on peut faire Teshouva, qu’on regrette le passé, on décide selon la voie de la Torah. Hakadosh Baroukh Hou accueille chacun avec les bras ouverts pour ceux qui se repentent. Il aide. Faites attention pour (vous) sauver vous-mêmes et le Peuple du Klal (de l’ensemble d’) Israël en décidant d’observer complètement la Torah. Qu’Il donne à tout le monde une longue vie, la Parnassa (un gagne pain), une bonne santé, dans tous les domaines. Mais tournons-nous vers notre Cher Hakadosh Baroukh Hou ! Amen ! »  

Vous l’avez compris, nous ne voulions en aucun cas vous priver des paroles si importantes de Rav Chaim Yits’hok CHAJKIN zatsal. Vous pouvez télécharger l’événement à la ref. 88010  (à porter dans « Recherche » en haut à droite de la page d’accueil de notre site) ou l’écouter directement via l’onglet ECOUTE LIVE de notre site. L’intervention de Rav Chaim Yits’hok CHAJKIN zatsal est au timing 1:46:24

Nous ne voulons pas en dire plus aujourd’hui. Avec l’aide du Ciel nous essaierons de revenir vers vous prochainement pour compléter ce message. N’hésitez pas à nous faire part de votre sentiment et, bien entendu, si vous le pouvez, faites suivre ce mail le plus largement possible tout autour de vous. Kol Touv, à très bientôt et avec nos meilleures pensées !

Pour mémoire, notez d’ores-et-déjà les dates et horaires (Paris) de Rosh Hashana :

1er jour depuis le dimanche 29 septembre à 19:16 jusqu’au lundi 30 septembre à 20:20

2ème jour depuis le lundi 30 septembre à 20:20 jusqu’au mardi 01 octobre à 20:18.

Avec tous nos vœux de Shana Tova OuMetouka, très bonne et douce année 5780 à tous !